Vous êtes épuisée par votre vie de famille ? Vous ne vous reconnaissez plus dans votre rôle de mère ? Vous vous mettez beaucoup la pression et vous n’y arrivez plus ? Vous n’avez plus de plaisir à vous occuper/ à jouer avec vos enfants ? Vous les supportez de moins en moins ? Vous n’osez pas exprimer votre mal-être par culpabilité et peur d’être jugée/ rejetée ?
Vous souffrez certainement d’un burnout maternel.
N’attendez pas de quitter le domicile familial ou de mettre gravement votre santé en jeu pour vous faire accompagner !
Le terme de burnout maternel apparaît pour la première fois en 2004 dans le livre « La fatigue émotionnelle et physique des mères. Le burnout maternel » écrit par la psychologue Violaine Guéritault, qui a appliqué le modèle du burnout professionnel à l’expérience de la mère. Jusqu’à la publication de son ouvrage, l’épuisement maternel était censé être dû à une chute hormonale ou à un conflit intrapsychique.
Le burn-out (brûler ses réserves, se consumer, en anglais) ne se résume pas à une grosse fatigue mais, à une accumulation de stress.
Le burnout maternel peut affecter n’importe quelle mère. C’est un syndrome qui survient lorsque les mères font face aux exigences de la maternité. Cette condition affecte souvent les mères qui sont continuellement exposées à des situations qui augmentent leur niveau de stress maternel, et qui manquent de ressources pour compenser les effets de ce stress. Les mères sont plus exposées au stress parental que les pères car elles prennent actuellement en charge 70% de la charge liée aux soins et à l’éducation des enfants, qu’elles aient ou non une activité professionnelle en plus.